Il y a quelques mois, j’annonçais avoir été retenu pour un MBA en Management International.
C’était un choix réfléchi, mais aussi un pari : celui de prendre du recul pour mieux avancer.
Ce parcours m’a permis de comprendre ce qu’aucune expérience ne m’avait enseigné aussi clairement :
On peut être compétent, passionné, même reconnu dans son domaine, mais sans les fondations du management, on avance parfois avec des angles morts.
Les enseignements qui m’ont le plus marqué
Durant ces derniers mois, j’ai exploré des disciplines aussi variées que la stratégie, la finance, le marketing, le management interculturel, la conduite d’équipes, le leadership transformationnel, et l’économie internationale.
Chaque séminaire, chaque cas pratique m’a permis de mieux comprendre les mécanismes profonds du management, ceux qui transforment une organisation en système performant et humain à la fois.
Mais c’est surtout à travers les échanges avec mon encadrant pour mon mémoire, M. François, que j’ai trouvé une nouvelle passion intellectuelle : les capacités dynamiques et la plateformisation — deux concepts clés pour comprendre comment les entreprises peuvent s’adapter, innover et se réinventer dans un monde incertain.
Apprendre pour mieux agir
En parallèle, j’ai continué à exercer mes responsabilités de dirigeant au sein d’AKORIT, une entreprise que j’ai cofondée et que je continue à faire évoluer.
Le MBA m’a permis de revisiter ma pratique de manager, d’affiner ma méthode et d’ancrer mes décisions dans un cadre plus structuré.
J’ai compris qu’un bon dirigeant ne se définit pas par son autorité ou son expertise technique, mais par sa capacité à écouter, aligner, et inspirer des dynamiques de changement durables.
Ce que je vais partager ici
À travers mes prochaines publications, je veux proposer une réflexion ouverte sur la transformation digitale, la gouvernance, l’innovation, et le leadership. Je veux montrer que le management n’est pas une abstraction, mais un levier concret de performance, d’équilibre et de sens.
Parce que finalement,
La compétence crée la valeur.
Mais c’est le management qui la transforme en impact.